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Prédictions de saison EPL 25/26 : la bataille du top 4

L’Angleterre aime ses mythes. Et la Premier League est son dernier grand roman collectif : un récit en 38 chapitres, écrit par onze protagonistes à la fois. En 2025–2026, ce roman promet d’être plus électrique que jamais. Les géants d’hier tremblent, les nouveaux riches avancent, et les algorithmes de l’intelligence artificielle s’accordent avec les bookmakers : la bataille pour le Top 4 n’aura jamais été aussi serrée.

Dans ce chaos organisé, quatre forces semblent émerger. Quatre constellations de talent et de stratégie qui dessinent déjà la géographie d’un championnat sans répit.

Manchester City – L’empire de la constance

Le football de Pep Guardiola est devenu une religion scientifique. Depuis 2018, Manchester City règne sur la Premier League comme Rome sur ses provinces. Il a remporté 6 titres en 7 saisons (2018-2024) et quatre d’affilée (2021-2024), une Champions League en 2023 et un football que même les statistiques n’arrivent plus à contenir.

Pour la saison 2025/26, City reste favori. Erling Haaland, à l’approche de son apogée (25 ans), reste à 30+ buts TCC par saison lorsque sa santé le permet. Derrière lui, Phil Foden, désormais capitaine, et le jeune prodige espagnol Rico Lewis symbolisent la transition douce d’un club qui ne vieillit pas.

Les modèles statistiques placent City favori en pré-saison.

Arsenal – L’école de la patience

Il y a vingt ans, Arsenal était un souvenir romantique : celui des Invincibles de 2004. Mais depuis l’arrivée de Mikel Arteta en 2019, ce souvenir est redevenu projet. Deuxième en 2022/23 et en 2023/24, puis dauphin à nouveau la saison dernière, le club nord-londonien semble prêt à briser le cycle.

Les Gunners se présentent avec une équipe d’une cohérence presque biologique :

  • Bukayo Saka, 24 ans, meilleur passeur de la saison passée avec 13 assists.

  • Declan Rice, pilier de l’entrejeu et capitaine de facto.

  • Gabriel Martinelli et Kai Havertz, désormais complémentaires dans la rotation offensive.

Arsenal ne cherche plus à copier Manchester City ; il le défie à armes égales. Les analystes de Transfermarkt estiment sa valeur de marché à plus d’1,1 milliard d’euros, la plus haute de son histoire.

Et dans les discussions de fans sur MelBet Instagram Tunisia, on ne parle plus de “rêve” mais de “probabilité”. L’optimisme, cette fois, a la rigueur d’un plan de bataille.

Liverpool – La renaissance rouge

Après le départ de Klopp en 2024, Arne Slot prend la relève et remet de la structure au pressing et à la circulation.

Liverpool retrouve l’équilibre perdu : pressing fluide, jeu vertical et créativité retrouvée au milieu grâce à Dominik Szoboszlai. Le jeune Argentin Alexis Mac Allister s’impose comme cerveau technique.

Les Reds ont bouclé l’été 2025 sans départ majeur, misant sur la stabilité. Et cela paye. Les modèles statistiques d’ESPN FC leur donnent 29 % de chances de finir dans le top 2.

Et pendant que les supporters du monde entier débattent, beaucoup observent les cotes évoluer sur des plateformes sportives. Pour vous assurer, vous pouvez télécharger melbet ios, où les parieurs analysent les statistiques en direct avec une précision quasi mathématique. Car même la passion, aujourd’hui, s’écrit en données.

Newcastle United – L’ambition saoudienne

Newcastle n’est plus un outsider. Depuis le rachat par le Public Investment Fund d’Arabie saoudite en 2021, le club du Nord-Est a changé de dimension. Sous Eddie Howe, il s’est qualifié pour la Ligue des champions 2023/24, puis a terminé 5ᵉ en 2024/25 malgré les blessures.

A l’été 2025, le club cible des profils U23 à gros potentiel au milieu, et un buteur confirmé pour épauler l’attaque.

Le projet Newcastle repose sur trois piliers :

  1. La jeunesse (moyenne d’âge 25 ans).

  2. La puissance financière.

  3. L’identité locale (Allan Saint-Maximin, revenu en prêt d’Al-Ahli).

Le club n’a jamais caché son objectif : se maintenir durablement dans le Top 4. Et, selon The Athletic (septembre 2025), il dispose du troisième budget salarial le plus élevé de Premier League derrière City et Manchester United.

Les autres prétendants

  • Manchester United poursuit sa reconstruction avec des profils créatifs et défensifs ciblés.

  • Chelsea, après des milliards dépensés, cherche encore une cohérence tactique malgré la présence d’Enzo Fernández et Christopher Nkunku.

  • Aston Villa et Tottenham continuent d’incarner la rébellion romantique du milieu de tableau.

Mais, pour le moment, le sommet appartient à quatre mondes distincts : City, Arsenal, Liverpool et Newcastle — quatre manières d’imaginer la gloire.

Une saison sous tension électrique

Les prédictions d’algorithmes, les analyses de données, les graphiques d’intensité… tout semble indiquer un duel serré entre Arsenal et Manchester City, avec Liverpool et Newcastle dans le sillage.

Mais la Premier League, comme l’univers de Werber, adore les imprévus. Il y a toujours un facteur X : la blessure d’un pilier, un jeune prodige qui explose, un club qui s’écroule sans raison apparente.

Le football anglais est un organisme vivant : il évolue, s’adapte, et nous rappelle que la logique n’est qu’un rêve rationnel.

Peut-être qu’en mai 2026, les chiffres auront menti. Mais entre les mains des joueurs, la vérité continue de rouler, imprévisible, sur l’herbe verte d’un royaume sans roi.

 

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